Dans ton Relay cette semaine
Non ce billet n’est pas sponsorisé, ou uniquement par mon addiction au rituel dominical de la lecture de magazines bien au fond de son lit.
Cette semaine, merveille des merveilles, j’ai déniché le numéro du magazine Reporters sans frontières spécial Peter Lindbergh. Apparemment ça s’est pas vendu tant que ça donc il doit en rester en stock. Mon conseil : grouillez-vous parce que pour 10€ vous avez un album vraiment magnifique des plus belles/célèbres photos d’un photographe qui a marqué la pop culture et immortalisé les stars que nos parents ont vu débuter, et que nous voyons briller aujourd’hui.
Peter qui ? -Me direz-vous, et je vous répondrai alors : mais SI ! Un nombre incalculable de ses photos se sont retrouvées un jour dans vos lectures people/mode un peu classieuses (Vogue, L’Officiel, Elle -du temps où il y avait encore des séries photos qui vous titillaient le nerf du style-) ou illustrant simplement certains sujets dans Néon, Causette ou encore Glamour et Cosmo. Et puis je vous en montrerai deux ou trois , et vous me direz alors « Ah ouiii mais ok d’accord, je connais du coup ! » Et oui !
En fait on ne peux pas résumer Peter Lindbergh. Mais je vais quand même essayer. D’abord, c’est un photographe de stars, certes, mais surtout un photographe de femmes. Ensuite, c’est un adepte du noir et blanc, du grain et du portrait. Mais prix de très près, presque en mode macro, le portrait. Et c’est ce qui change tout. A cette distance, on ne peux pas tricher. On voit la femme, on oublie la star Le regard est très présent dans le travail de Lindbergh, les expressions nous racontent des histoires. L’actrice Robin Wright elle même modèle de Lindbergh, le souligne : « Quand on regarde le travail de Peter, il ne nous semble pas simplement brillant. Il va chercher en nous une émotion, Il a un sens de l’amour ». Tout est dit.